Journée de la femme : les colistières d’Annette Peulvast-Bergeal disent stop à la prostitution à Mantes-la-Ville
Journée de la femme : les colistières d’Annette Peulvast-Bergeal disent stop à la prostitution à Mantes-la-Ville
Aboubakry N’diaye – Publié le 08.03.2013, 15h30
Les colistières de la candidate Annette Peulvast-Bergeal viennent d’écrire une lettre ouverte pour dénoncer la prostitution à Mantes-la-Ville (MA/Ab.N)
À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, Colette Lavancier, Hassna Moumad, Séverine Leymarie, Delphine Delmas, Vanessa Gouju et l’ensemble des colistières d’Annette Peulvast-Bergeal ont écrit une lettre ouverte. À travers celle-ci, elles aimeraient rappeler au Mantevillois que tous les combats menés par les femmes depuis 197 n’ont pas suffit à effacer les inégalités et les violences
LETTRE OUVERTE JOURNÉE DE LA FEMME
LES FEMMES NE SONT PAS À VENDRE À MANTES-LA-VILLE !
Aurions-nous vraiment besoin d’une journée spécifique pour nous rappeler que des inégalités subsistent entre hommes et femmes ? Quelle est la pertinence de cette journée en France en 2014. Quel message renvoie cette journée ?
Nous devons tous les jours lutter contre les inégalités hommes-femmes, c’est un engagement quotidien que cette journée nous remémore. Nous déplorons les éternels discours victimaires que l’on entend en boucle et qui augmentent les clichés sur les femmes (faibles, fragiles, vulnérables etc.…)
Nous déplorons le clivage homme-femme alors qu’il est temps d’avancer ensemble en toute égalité.
L’équipe d’Annette Peulvast-Bergeal s’engage à mettre son action politique au service de l’ensemble des victimes de violences sous toutes les formes.
L’équipe d’Annette Peulvast-Bergeal s’engage à combattre ces violences par une conduite moderne, pragmatique et ambitieuse pour les femmes et l’ensemble de la société.
Depuis peu, à Mantes-la-Ville (Boulevard Roger Salengro entre les 2 ponts), on observe une recrudescence de femmes provenant des pays de l’Est contraintes à la prostitution.
Il est grand temps de mettre un terme à ces réseaux mafieux. Ces vendeurs de femmes auparavant concentrés dans les grandes agglomérations et condamnés maintes et maintes fois par la police ont compris qu’ils avaient moins de risques en exerçant leur activité en banlieue. La mairie n’a pris la mesure pour éviter la propagation de ce fléau. Nous voulons agir fermement à Mantes-la-Ville et faire barrage à cette perversion.